11 30 2012 9:0:14
Recherche : elles et ils inventent l'avenir
«Yehezkel Ben-Ari, l'inventeur du sirop de l'espoir pour l'autisme Yehezkel Ben-Ari, chercheur Inserm et fondateur de l'Institut de neurobiologie de la Méditerranée, sur le campus de Luminy, à Marseille, sait rester modeste.
"Nous avons créé une entreprise de biotechnologie, "Neurochlore", avec Eric Lemonier, un pédopsychiatre spécialiste de l'autisme pour mettre au point un médicament sous forme de sirop qui participe au traitement global de l'autisme.
Il s'agit de réduire la sévérité de cette maladie, les troubles de comportement qui y sont liés. Ce sirop va permettre le développement de la communication chez les personnes autistes mais aussi de mieux s'insérer dans la société." Il se base sur une molécule capable de faire baisser le taux de chlore intracellulaire, point commun à de nombreuses maladies neurologiques.
"Les tests précliniques donnent des résultats spectaculaires, indique le scientifique.»
[...]
«Les essais cliniques, grâce à une fondation US, débuteront dans six mois." Pour une mise sur le marché dans deux ans.
»...
Source: http://www.laprovence.com | Source Status
Categories: Patriotisme Economique,Crise/Analyse de Crise
11 29 2012 12:44:28
Accuse d'avoir espionne Besancenot, le patron de Taser France juge
«Antoine Di Zazzo et neuf autres prévenus sont jugés à partir de jeudi en correctionnelle à Paris pour l'espionnage présumé de l'ancien porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Ils comparaissent pour l'espionnage présumé de l'ancien porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot.
A partir de jeudi et jusqu'à début décembre, Antoine Di Zazzo, le patron de Taser France et neuf autres personnes sont jugés devant le tribunal correctionnel de Paris. Précisément, Antoine Di Zazzo, directeur de SMP Technologies, est soupçonné d'avoir fait espionner en 2007 et 2008 l'ancien dirigeant trotskiste, avec lequel il a été en conflit ouvert.
Olivier Besancenot avait notamment affirmé que le Taser avait provoqué des morts aux Etats-Unis. Antoine Di Zazzo est poursuivi pour complicité de "violation du secret professionnel", d'"accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données" et de "détournement de finalités de données".»
[...]
«Pour Olivier Besancenot et son avocat, Me Comte, l'affaire met en lumière les problèmes de confidentialité des fichiers de la police censés être protégés. L'ex porte-parole du NPA attend des "explications et des condamnations à la hauteur de cette forme d'intimidation qu'est l'espionnage", affirmant que sa compagne, ses enfants, sa famille ont été suivis. "Tout le monde se renvoie la balle" dans cette affaire, ajoute-t-il. Il souhaite, au-delà de l'affaire jugée par le tribunal, un "débat public" sur ces questions et une commission d'enquête, soulignant l'opacité de ces "officines privées". Il souhaite également un "moratoire" et un débat sur le pistolet à impulsions électriques. Deux autres détectives sont également poursuivis, tout comme un agent des douanes, un agent des impôts, deux policiers et un responsable bancaire, qui ont été sollicités pour fournir ces données confidentielles.
»...
Source: http://lci.tf1.fr | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances
11 28 2012 15:2:44
Mont-de-Marsan : les magistrats tweetent et derapent pendant un proces d'assises
«La question de la liberté d'expression des magistrats sur les réseaux sociaux, et sur la Toile en général, était abordée dans un article publié mercredi dernier sur le site Internet du magazine « Le Point ». Son auteur évoquait notamment la grande activité sur Twitter et sur les blogs de personnalités du monde judiciaire retranchés derrière l'anonymat : Maitre Eolas, @Judge_Marie, Dadouche ou encore @Proc_Gascogne.
Le dernier cité allait justement se distinguer dans la communauté publique Twitter le jour même de la parution. L'homme était dans la salle d'assises de Mont-de-Marsan et conversait (notamment) avec l'un des deux assesseurs de la formation criminelle.
Et c'est peu dire que leurs propos ont quelque peu dérapé... La centaine de tweets échangés entre les deux hommes au cours de ces trois jours d'audience relatifs à une tentative de meurtre déplorée à Villeneuve-de-Marsan (40) ne laisse aucun doute sur l'identité des mis en cause.»...
Source: http://www.sudouest.fr | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances
11 28 2012 10:52:4
Comment PurePeople cartonne a contre-courant de la pub en ligne
«PurePeople, PureMedias, mais aussi PureShopping ou PureTrend... Ces sites centrés sur le divertissement en tout genre font partie de la même galaxie créée par Webedia depuis cinq ans.
Alors que la publicité en ligne fait grise mine, la société, qui emploie 130 personnes, va réaliser un chiffre d'affaires de 19 millions d'euros, en hausse de 80% sur un an, pour un bénéfice d'exploitation de 7 millions d'euros, contre 1 million en 2011. Un exploit à l'heure où aucun média ne réussit à vivre de la publicité en ligne, même si la croissance s'explique aussi par toute une série d'acquistions (Ozap, CanalBlog, Shopoon...). Sur Internet, Webedia cible une clientèle féminine et familiale, très prisée des publicitaires, déclinant ses marques sur l'ensemble de ces centres d'intérêts.
PureMedias traite de l'actu télé, PurePeople des stars, PureTrend de la mode, PureShopping se positionne comme un guide d'achat, tandis que PureFamille, PureSaveurs et PureSweetHome, conçus à partir de blogs de Canalblog, évoque la famille, la cuisine et la maison.
Une stratégie qui n'est pas sans évoquer la presse féminine (Lagardère publie Elle, Elle A Table, Elle Décoration), qui fait fondre les frontières entre information et communication.
Sortie prochaine des fonds d'investissement Déjà, Webedia, qui a levé en 5 ans 10 millions d'euros auprès de Ventech, Xange et Idinvest, est à la croisée des chemins. Certains des fonds arrivent à échéance et ont demandé à sortir.
Il y a un mois et demi, les deux fondateurs, Cédric Siré et Guillaume Multrier (ex Aegis), qui conservent 25% du capital, ont mandaté la banque Rothschild. Les fondateurs veulent profiter de cette fenêtre, soit pour lever de l'argent auprès d'investisseurs internationaux, soit pour trouver un partenaire industriel de grande envergure.»
[...]
« « Faire de l'information d'un côté, et vendre des carrés de publicité de l'autre, cela ne marche pas », tranche Cédric Siré, président fondateur de Webedia.
Problème spécifique des « opérations spéciales » : elles coûtent cher, dans la mesure où elles requièrent des développements spécifiques. Webedia a donc développé sa propre technologie qui lui permet de concevoir pour les marques des habillages à la volée. En outre, les équipes techniques, commerciales et la rédaction travaillent ensemble. Car, outre l'habillage, Webedia propose aussi des publicités rédactionnelles identifiées comme telles, mais rédigées par les rédacteurs. Ainsi, une rédactrice beauté, en plus d'articles classiques, sera amenée à faire des fiches sur des produits L'Oréal, un travail qui incombe normalement à une agence de communication. Evidemment, on ne peut pas dire que Webedia respecte tous les codes déontologiques de la presse traditionnelle, mais Cédric Siré affirme que c'est la condition sine qua non pour réussir.
»...
Source: http://www.latribune.fr | Source Status
Categories: Tendances,Communication
11 28 2012 9:57:18
RSF lance un site Web pour abriter les infos censurees
«Pour dénoncer le passage sous silence de certaines informations, Reporters Sans Frontières (RSF) vient de mettre en ligne un site Web anti-censure, WeFightCensorship.org (« Nous combattons la censure »), disponible en français et en anglais.
Ce site Internet a pour vocation de recenser des informations, reportages, photos, sons ou vidéos faisant l'objet d'une quelconque censure, ayant été interdits ou dont les auteurs peuvent être victimes de représailles.
Destiné à sans cesse s'enrichit, WeFightCensorship s'adresse à tous les citoyens, journalistes ou non, désireux de publier des contenus « sensibles » et ainsi garantir un peu plus, dans le monde, la liberté d'information.
Avant publication, les contenus proposés, envoyés anonymement ou non, sont étudiés par le comité éditorial de WeFC et sont accompagnés d'un texte de présentation du contexte et de l'auteur.
Des pièces de procédures ou des documents annexes indispensables pour apprécier la valeur informative de ces documents seront également publiés. Les contenus censurés seront mis en ligne dans la langue originale et accompagnés d'une traduction.
Et afin de ne pas être également censuré, WeFightCensorship.org est également relayé par des sites miroirs, pour contourner les tentatives de filtrage et de blocage. Bien entendu, les internautes sont invités à relayer les contenus censurés pour leur donner davantage de visibilité. RSF met également à disposition des internautes un « kit de survie numérique », composé d'outils comme des réseaux privés virtuels #ou VPN#, des logiciels de chiffrage #TrueCrypt# ou des technologies d'anonymisation en ligne #Tor#.»...
Source: http://www.itespresso.fr | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances
11 27 2012 9:37:37
La fermeture de Megaupload a-t-elle fait du mal a l'industrie du cinema ?
«Une étude montre que la fermeture du site de téléchargement Megaupload a eu un impact négatif sur les recettes des petits films.Et si la fermeture du site de téléchargement Megaupload avait été une mauvaise chose pour l'industrie du cinéma ? C'est ce qu'affirme un court article publié par deux chercheurs sur un site de partage de travaux en sciences sociales (qu'on peut télécharger gratuitement ici#. Les auteurs #l'un étant spécialiste de stratégie et technologie dans une école de management de Munich, l'autre s'occupant de l'économie des innovations technologiques dans une école de commerce à Copenhague) ont étudié les recettes de 1344 films sortis dans 49 pays sur une période de cinq ans.
Et ils affirment -chiffres à l'appui- que les recettes des "petits" films (i.e., qui étaient projetés dans moins de 500 salles aux USA) ont légèrement baissé depuis janvier 2012, soit la date de la fermeture de Megaupload (en théorie site d'hébergement de données, en pratique plate-forme iconique de téléchargement illégaux de musique et de films). Leur thèse : le site de piratage permettait tout simplement d'avoir un effet de bouche-à-oreille plus important, et jouait le rôle de "mécanisme servant à répandre l'information à partir d'un spectateur qui n'avait pas l'intention de payer à un spectateur qui a l'intention de payer." Bref, les pirates aidaient tout simplement à faire la promo des petits films.
En revanche, l'étude montre également que les blockbusters n'ont a contrario pas souffert de la fermeture du site.»...
Source: http://www.premiere.fr | Source Status
Categories: Crise/Analyse de Crise,Tendances
11 24 2012 14:9:44
Se proteger sur Internet : j'ai pris un cours avec la DCRI
«Internet, c'est le mal : à Sciences-Po, un agent du contre-espionnage m'a expliqué pourquoi Facebook ou Copains d'avant étaient les meilleurs amis des espions. En mai, l'Elysée a été piraté et les ordinateurs de plusieurs conseillers haut placés infiltrés, révèle L'Express de ce mercredi.
Hasard du calendrier : le jour de la sortie de l'hebdomadaire, j'ai assisté à un séminaire de formation en sécurité informatique dispensé par un policier de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, le service de contre-espionnage français, issu en 2008 de la fusion entre RG et DST). Ce séminaire, qui se déroulait dans les locaux de Sciences-Po à Paris, n'était ouvert qu'à certains étudiants de l'école, pas aux journalistes #mais voilà, je suis l'un et l'autre#. Le but : sensibiliser les futurs fonctionnaires #ou cadres# aux enjeux de la protection de leurs données et celles de leur employeur.
Comment ? En nourrissant la paranoia vis-à-vis d'Internet, en faisant bien comprendre que le Web, c'est sale et plein de dangers.»...
Source: http://www.rue89.com | Source Status
Categories: Tendances,Intelligence Economique
11 21 2012 0:15:19
Autism symptoms reversed in mice : Nature News & Comment
«As diagnoses of autism spectrum disorder rise, the need for effective therapies has increased in urgency. Today, a paper in Nature describes two ways of reversing autism-like symptoms in a new mouse model of the condition1. Autism spectrum disorder (ASD) affects up to 1 in 110 people.
Although a few drugs have shown promise in mouse models, none is able to treat the core social deficits common to ASD in humans. A team of researchers led by Nahum Sonenberg of McGill University in Montreal, Quebec, created a new model of mouse autism, and then reversed its symptoms.
They began by genetically engineering mice so that they lacked the gene Eif4ebp2. The 4E-BP2 protein that this produces suppresses the translation of certain messenger RNAs, so knocking out Eif4ebp2 allows the proteins that these mRNAs produce to be synthesized at above normal levels.
Mice lacking Eif4ebp2 exhibit many autism-like symptoms, including poor social interaction, altered communication and repetitive behaviours. Sonenberg and his co-workers found that one group of proteins that proliferates in the absence of Eif4ebp2 is the neuroligins (NLGNs), which sit in the membrane of neurons and help to create and maintain the connections, or synapses, between nerve cells.»
[...]
«Despite these results, Sonenberg cautions against interpreting them as a sign that a treatment for ASD is around the corner. “The drug we used would be too toxic to use for ASDs,” he says. “But we’ve shown that this pathway is important, identified potential therapeutic targets and demonstrated that a drug therapy is possible in principle.”
The search for drug therapies is complicated by the fact that ASD has many genetic causes, each of which accounts for no more than 1% of cases2. Nonetheless, Sonenberg says, it’s possible that these diverse mutations could converge on the same pathway — which Price describes as an interesting “unifying hypothesis”.
»...
Source: http://www.nature.com | Source Status
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11 21 2012 23:23:9
''Your criticisms are completely wrong'': Stallman on software patents, 20 years in | Ars Technica
«The large, bearded man bounded to the front of the room last Friday, hand thrust into the air, fingers shaking. It was a question-and-answer session, but he clearly wouldn't be able to wait long.
He began speaking just before a conference organizer moved to hand him the microphone. "So many stupid insults-and mistakes!" shouted Richard Stallman, the father of the free software movement.
"I proposed a way to solve the problem! It's elegant, and it gets right to the point. Your criticisms are completely wrong." The speaker he was denouncing, Professor John Duffy of the University of Virginia, had been defending software patents to the assembled crowd a moment ago.
Duffy was actually proposing reforms, but as was the case with most speakers at this legal conference, Duffy's reforms weren't quite what Stallman was looking for. He was looking for a "safe harbor" for software-essentially, a total ban on any patents that touched on software.
Duffy raised the specter that some things might not be invented at all without patents, in software and other fields. "The only thing worse than a patented technology that burdens the public is not having a technology at all," he said.
Sure, some software patents were a pain, but others were protecting important work. "The question is, will you get very serious research that is patent-motivated? Speech recognition, for example, is very patent-intensive." In Stallman's view, the idea that society might be able to eliminate "bad patents" while keeping good ones is a kind of Jedi mind trick.
Offering patents as a reward for software development-a system where the prize is a right to shut down someone else-is fatally flawed. "Consider the MP3 patent," said Stallman.
"That caused a lot of harm. It's not trivial, it came from a research institute. But we can fund research institutes in other ways." The deprivation of some unnamed technology doesn't excuse a system that allows some developers to be subject to legal attacks, Stallman continued.
We could live without those things. "Yes, we can be better off without certain things," said Stallman, finishing up his lecture to a flustered Duffy. "Maybe it wouldn't be quite as good, but we would all be okay.
None of us would be shafted."»...
Source: http://arstechnica.com | Source Status
Categories: Brevets Logiciels,Tendances
11 21 2012 10:35:58
L'intelligence economique, remede a une competitivite rampante
«La 18e Journée de l'intelligence économique était placée sous le thème suivant: "Vers une compétitivité retrouvée". Pour redorer la compétitivité française, les intervenants ont mis en avant la nécessité de mieux gérer l'information, de protéger le savoir-faire des entreprises, de valoriser l'innovation ou encore d'avoir une vision prospective.
Le pacte Ayrault pour la compétitivité a fait allusion à plusieurs reprises à l'intelligence économique. Spécialistes de ce secteur, chefs d'entreprise sensibles à ces problématiques dans le secteur du numérique, de l'industrie ou des services, enseignants et représentants des pouvoirs publics, étaient rassemblés à l'Ecole Polytechnique pour la 18e Journée nationale de l'intelligence économique.
Et tous avaient leur petite idée sur la manière dont il faudrait faire davantage appel à l'intelligence économique pour restaurer la compétitivité française. Passage en revue des différents remèdes prescrits.»...
Source: http://www.latribune.fr | Source Status
Categories: Intelligence Economique,Tendances
11 16 2012 18:14:35
Cloture des mises en demeure adressees aux societes de perception et de droits d'auteurs (SPRD) - CNIL - Commission nationale de l'informatique et des libertes
«Clôture des mises en demeure adressées aux sociétés de perception et de droits d'auteurs (SPRD) 16 novembre 2012 Le 16 juin 2011, la CNIL a adressé des mises en demeure aux sociétés de perception et de répartition des droits d'auteurs (SPRD). En effet, elle avait constaté à l'occasion d'un contrôle l'insuffisance des mesures de sécurité entourant le dispositif dit " de réponse graduée " qui vise à lutter contre le téléchargement illégal sur internet.
La CNIL avait décidé de ne pas rendre publiques ces mises en demeure au regard des éléments techniques contenus dans ces dernières. Pour autant elle avait jugé utile d'informer le public sur son action compte tenu de la sensibilité du traitement qui concerne environ 25 000 adresses IP (" internet protocol ") par jour.
Depuis, de nombreuses mesures correctives ont permis d'assurer la conformité du traitement. Les SPRD ont en effet détaillé les procédures mises en oeuvre pour améliorer la sécurité de leur système d'information.
Les mesures correctives retenues par ces dernières et l'importance du plan d'action déployé ont fait l'objet d'une vérification sur place par une délégation de la Commission.
Compte tenu de cette mise en conformité, il a été décidé de procéder à la clôture de ces procédures.»...
Source: http://www.cnil.fr | Source Status
Categories: Crise/Analyse de Crise,Tendances
11 16 2012 17:31:59
Pourquoi l'imprimante 3D va revolutionner l'industrie
«Finis les appartements uniformes, bye-bye Ikea. Demain, chacun disposera de ses meubles personnalisés, de ses propres bibelots, de vaisselle à son nom. Grâce à l'imprimante 3D, autrefois hors de prix mais désormais accessible, il est possible de fabriquer toutes sortes d'objets, en exemplaire unique mais à moindre cout.
Business déjà florissant, l'impression en trois dimensions promet de révolutionner la façon dont nous produisons, dont nous consommons, dont nous créons. Aucun secteur économique n'en sortira indemne.
A l'instar de la dernière grande révolution : l'apparition de l'Internet.»...
Source: http://www.journaldunet.com | Source Status
Category: Tendances
11 16 2012 16:47:43
Si le patron de la CIA n'arrive pas a proteger ses emails perso, alors les autres ...
«Comment le FBI a-t-il découvert que les emails de menaces et d'insultes reçus par Jill Kelley, copine avec tous les généraux en poste en Floride (y compris David Petraeus, chef de la CIA), avaient été envoyés par Paula Broadwell, maitresse cachée de Petraeus, et femme jalouse ? Mme Broadwell avait pourtant pris soin de créer des comptes Gmail avec des faux noms, et d'envoyer ses messages malveillants uniquement quand elle était dans des lieux publics ou des hôtels équipés de wifi gratuit.
Pour la retrouver, le FBI a demandé à Google un relevé des numéros IP des ordinateurs d'où chaque message avait été envoyé. Ces données techniques confidentielles sont conservées par des services de webmail pendant au moins un an.
Il a suffi que Mme Kelley parle de son problème à un autre de ses copains, agent du FBI en Floride, pour qu'une enquête soit déclenchée et que la demande soit envoyée à Google, qui l'a aussitôt acceptée.
Selon l'association de défense des droits civiques American Civil Liberties Union (ACLU), les sociétés comme Google et Facebook ont créé des services spécialement chargés de répondre à ces demandes de la police (plusieurs milliers par an), et pour les gérer, elles ont embauché des anciens policiers - qui ont souvent gardé des relations amicales avec leurs ex-collègues.
Une fois en possession des numéros IP des hotspots wifi d'où les messages étaient partis, les enquêteurs ont identifié les hôtels concernés. Puis ils ont comparé les listes des clients ayant séjourné dans les hôtels aux périodes où les emails avaient été envoyés.
Par recoupements, un seul nom a émergé, celui de Paula Broadwell.»...
Source: http://pastresnet.blog.lemonde.fr | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances
11 14 2012 10:59:12
Allergie textile en Normandie : l'origine chinoise n'est pas averee - Metro
«Selon la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations, les vêtements portés par la fillette "ont des étiquettes made in France".Allergie textile : l'origine chinoise n'est pas avérée Les causes de l'allergie sévère de la petite Marie, survenue après le port de vêtements neufs, ne sont pas encore connues.
Les conclusions ont été tirées un peu trop vite. La semaine dernière, l'origine chinoise de vêtements, soupçonnés d'avoir provoqué une grave allergie chez une fillette domiciliée dans l'Orne, avait été rapidement pointée du doigt.
Et le diméthylfumarate, ou DMF, un fongicide interdit en France depuis 2009, immédiatement mis en cause. Pourtant les analyses de la jupe et du t-shirt, cadeaux d'anniversaire de la petite Marie, quatre ans, n'ont pas encore rendu leur verdict.
"Pour l'heure, on ne peut rien affirmer", a indiqué Blandine Grimaldi, directrice départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. Des étiquettes "made in France" Au lendemain de ses quatre ans, début octobre, Marie s'était réveillée le visage défiguré, gonflé et couvert de boutons, son corps portant les marques de la jupe et du tee-shirt.
Hospitalisée un temps au CHU de Caen, la petite fille est désormais rétablie. Les analyses doivent déterminer si l'allergie de l'enfant a bel et bien été causée par les vêtements, et si ces derniers contiennent la fameuse substance nocive.
Cependant, contrairement à ce qu'avait affirmé le père de la fillette, les habits ne semblent pas avoir été fabriqués en Chine. Des précédents en 2008 "Le vêtement et le lot dont il faisait partie qui a été saisi en magasin ont des étiquettes 'made in France' mais il faut attendre le résultat de l'enquête de traçabilité pour avoir confirmation de leur provenance", a précisé Blandine Grimaldi.»...
Source: http://www.metrofrance.com | Source Status
Categories: Lobbying/Analyse de Lobbying , Tendances
11 11 2012 16:49:30
Le cloud ''a la francaise'' sous le feu des critiques
«Depuis leur annonce en 2011, les deux projets d'informatique dématérialisée (cloud computing) "à la française" d'Orange et SFR suscitent les critiques des entreprises françaises du secteur.
Ces PME, pour la plupart, voient d'un mauvais oeil cette alliance entre l'Etat et des géants des télécoms, jugés inadaptés au marché du cloud, et se plaignent de tentatives de débauchage d'employés, que les consortiums nient.
Financés à hauteur de 150 millions d'euros par l'Etat, les deux consortiums, Cloudwatt pour Orange et Numergy pour SFR, doivent devenir des géants européens, à même de concurrencer les américains Amazon, Microsoft et Google.
Ces deux consortiums fourniront aux entreprises des ressources informatiques, de la puissance de calcul ou de l'espace de stockage, souvent trop couteuses à maintenir pour ces clients.
Les offres concrètes des deux projets officiellement lancés en septembre sont censées arriver dans les prochains mois. Le scepticisme n'a pourtant pas cessé, loin de là. La semaine dernière, le géant des centres de données Interxion et une PME spécialisée dans les réseaux privés, Navaho, exprimaient encore des doutes sur la pérennité de ces consortiums.»
[...]
«■Quid de la "souveraineté" des données ?
L'argument fort de ces clouds est bien la souveraineté. Le financement public est justifié par le besoin d'acteurs de confiance soumis à la législation française, contrairement aux entreprises de droit américain qui sont soumises à la loi antiterroriste américaine. Le Patriot Act permet en effet aux forces de sécurité américaines de consulter très largement les données d'entreprises ou de particuliers hébergées aux Etats-Unis ou par des entreprises dont le siège est aux Etats-Unis.
"Le poste d'investissement le plus important est l'infrastructure. Notre objectif est d'être open source [technologies au code source ouvert] et souverains dans notre architecture", explique Patrick Starck de Cloudwatt. "On prend de cette communauté [open source] et on le lui restitue. L'équipe de développement devrait atteindre une centaine d'acteurs, avec une spécialisation [sur la technologie d'infrastructure réseau ouverte] OpenStack", explique encore M. Starck.
"L'idée est d'être en conformité avec des réglementations qui existent, comme celles de la CNIL. Il faut éduquer les patrons aux contraintes liées à leur hébergement", explique Cloudwatt. Suffisant pour convaincre les entreprises ? "Cet argument n'est pas à brandir comme le chiffon rouge. Ce n'est pas avec ça qu'on fait un marché", répond Cloudwatt.
»...
Source: http://www.lemonde.fr | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances
11 10 2012 23:19:41
L'affaire Farewell, trente ans plus tard
«Un colloque marquant les trente ans de l'affaire Farewell a réuni hier à Paris quelques uns des principaux acteurs du dossier.Farewell, de son vrai nom Vladimir Vetrov, était un agent double russe qui avait choisi de travailler pour la DST française.
En deux ans, il aura transmis aux Occidentaux 3000 pages de documents secrets sur les rouages du KGB soviétique. Arrêté en 82, Farewell / Vetrov a été exécuté à Moscou en 1985. Parmis les invités de ce colloque, l'ancien patron de la DST, l'ancien conseiller sécurité de Ronald Reagan et puis l'agent traitant de "Farewell" à Moscou.
L'occasion pour eux d'évoquer leur rôle dans cette affaire.»...
Source: http://www.franceculture.fr | Source Status
Category: Tendances
11 10 2012 8:10:47
L'affaire Gemplus / France Inter
«James Bond a troqué son pistolet contre un ordinateur. Chacun le sait désormais, la véritable guerre secrète se déroule aujourd'hui sur le terrain économique. L'espionnage change donc progressivement de nature.
On s'affronte désormais à coups de virus informatiques ou de systèmes sophistiqués d'intrusion dans les mémoires électroniques. Une cyber-guerre mondiale qui mobilise les meilleurs cerveaux des services secrets et des organismes de sécurité. En France, qui n'est certainement pas le pays parmi les mieux protégés, ce sont mille attaques annuelles qui sont recensées.
Mais combien d'autres passent inaperçues ! C'est pourquoi le Parlement devrait adopter prochainement une loi renforçant les procédures et les systèmes de défense existants.
Cependant, cette guerre économique souterraine qui a succédé à la guerre froide, peut prendre d'autres aspects. C'est ce que m'a raconté Monsieur X cette semaine en ouvrant le dossier de Gemplus, cette société française, leader mondial de la carte à puce, dont le trésor technologique a été l'enjeu d'une gigantesque bataille... Un conflit franco-américain qui a aussi permis l'émergence chez nous d'un nouveau concept, celui d'intelligence économique, c'est-à-dire, selon un spécialiste, la maitrise et la protection de l'information stratégique pour tout acteur économique...»...
Source: http://www.franceinter.fr | Source Status
Categories: Intelligence Economique,Tendances