02 27 2020 15:6:4
Arret n°35 du 26 fevrier 2020 (19-81.827) - Cour de cassation - Chambre criminelle - ECLI:FR:CCAS:2020:CR00035 | Cour de cassation
«Arrêt n°35 du 26 février 2020 (19-81.827) - Cour de cassation - Chambre criminelle - ECLI:FR:CCAS:2020:CR00035 Agression sexuelle - Responsabilité pénale Rejet Sommaire 1 L'exhibition de la poitrine d'une femme entre dans les prévisions du délit prévu à l'article 222-32 du code pénal, même si l'intention exprimée par son auteur est dénuée de toute connotation sexuelle.
Sommaire 2 Si le comportement d'une militante féministe qui dénude sa poitrine, sur laquelle est inscrite un message politique, dans un musée en plantant un pieu dans une statue de cire représentant le dirigeant d'un pays, constitue l'infraction d'exhibition sexuelle, la relaxe de la prévenue n'encourt pas la censure dès lors que ce comportement s'inscrit dans une démarche de protestation politique et que son incrimination, compte tenu de la nature et du contexte de l'agissement en cause, constituerait une ingérence disproportionnée dans l'exercice de la liberté d'expression.»...
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Categories: Juridique,Tendances
02 19 2020 15:9:16
''Fake news'' et desinformation autour du coronavirus SARS-CoV2 | Salle de presse | Inserm
«Comme tous les sujets médiatiquement forts, le coronavirus SARS-CoV2 de 2019 n'échappe pas au sillon de la désinformation. Apparu dans la province chinoise du Hubei, l'épidémie provoquée par ce coronavirus - appelé désormais SARS-CoV2 et COVID-19 pour la maladie qu'il entraine chez le patient-continue d'alimenter les médias, mais aussi le web et les réseaux sociaux, parfois dans de mauvaises directions.
L'Inserm vous propose de revenir sur les différentes formes que prend cette vague de désinformation afin de couper court aux fausses informations et mieux se repérer sur l'océan médiatique.
S'agissant du SARS-CoV2 et du Covid-19 (la maladie contractée chez l'Homme, à distinguer du virus), la désinformation prend plusieurs formes. De la simple approximation dans les chiffres à la théorie du complot en passant par les révélations sans preuves, de nombreux supports relaient des « fake news ». Les sujets sensibles à la désinformation, eux aussi, varient : traitant tantôt de la nature du virus, tantôt de son vaccin.»
[...]
«Si la possibilité de pouvoir utiliser des traitements antipaludiques sûrs, déjà bien connus et peu coûteux chez les patients atteints de coronavirus est intéressante, il est primordial d’avoir une visibilité sur des données issus d’essais cliniques impliquant des patients infectés par SARS-Cov-2, publiées et donc rendues accessibles à la communauté scientifique internationale.
A noter également qu’aucune prise de médicament quel qu’il soit n’est anodine. Les antipaludiques ne sont accessibles que sur prescription médicale.
[1] Targeting Endosomal Acidification by Chloroquine Analogs as a Promising Strategy for the Treatment of Emerging Viral Diseases Md Abdul Alim Al-Bari PMID: 28596841 PMCID: PMC5461643 DOI: 10.1002/prp2.293
[2] Remdesivir and chloroquine effectively inhibit the recently emerged novel coronavirus (2019-nCoV) in vitro PMID: 32020029 DOI: 10.1038/s41422-020-0282-0
[3]
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[4] Breakthrough: Chloroquine phosphate has shown apparent efficacy in treatment of COVID-19 associated pneumonia in clinical studies. DOI: 10.5582/bst.2020.01047
[5] Expert consensus on chloroquine phosphate for the treatment of novel coronavirus pneumonia PMID: 32075365 DOI: 10.3760/cma.j.issn.1001-0939.2020.0019
POUR CITER CET ARTICLE :
C'EST DANS L'AIR – SALLE DE PRESSE INSERM“Fake news” et désinformation autour du coronavirus SARS-CoV2LIEN :
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Categories: Crise/Analyse de Crise,Tendances
02 04 2020 21:16:50
Depakine : Sanofi mis en examen, la presidente de l'association de victimes reagit - France 3 Occitanie
«Le groupe pharmaceutique Sanofi, contre lequel se bat depuis plusieurs années l'association "Apesac" présidée par la Catalane Marine Martin, a été mis en examen pour "tromperie aggravée et blessures involontaires". "Je suis extrêmement satisfaite de voir que la procédure pénale que j'avais initiée en 2016 franchit une étape importante", exprime dans un communiqué Marine Marin, présidente de l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant (Apesac). Depuis septembre 2016, l'enquête du groupe pharmaceutique Sanofi visait à établir s'il y avait eu "tromperie sur les risques inhérents à l'utilisation du produit et les précautions à prendre ayant eu pour conséquence de rendre son utilisation dangereuse pour la santé de l'être humain" au cours de la période de 1990 à avril 2015. La décision vient de tomber, le groupe a été mis en examen, lundi 3 janvier.»...
Source: http://france3-regions.francetvinfo.fr | Source Status
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