06 29 2015 20:17:9
List of BBC web pages which have been removed from Google's search results
«Since a European Court of Justice ruling last year, individuals have the right to request that search engines remove certain web pages from their search results. Those pages usually contain personal information about individuals.
Following the ruling, Google removed a large number of links from its search results, including some to BBC web pages, and continues to delist pages from BBC Online. Update 29/06/15: Google has asked us to point out that links to the BBC articles below are only delisted from results for queries on certain names.
They are not removed from the Google index entirely. We're happy to make that clear. The BBC has decided to make clear to licence fee payers which pages have been removed from Google's search results by publishing this list of links.
Each month, we'll republish this list with new removals added at the top. We are doing this primarily as a contribution to public policy. We think it is important that those with an interest in the "right to be forgotten" can ascertain which articles have been affected by the ruling.
We hope it will contribute to the debate about this issue. We also think the integrity of the BBC's online archive is important and, although the pages concerned remain published on BBC Online, removal from Google searches makes parts of that archive harder to find.
The pages affected by delinking may disappear from Google searches, but they do still exist on BBC Online. David Jordan, the BBC's Director of Editorial Policy and Standards, has written a blog post which explains how we view that archive as "a matter of historic public record" and, thus, something we alter only in exceptional circumstances.
The BBC's rules on deleting content from BBC Online are strict; in general, unless content is specifically made available only for a limited time, the assumption is that what we publish on BBC Online will become part of a permanently accessible archive.
To do anything else risks reducing transparency and damaging trust. Setting out that view and so as to be as transparent as possible, the BBC has published guidance on the removal of content from its services, and I've written previously about how we manage BBC Online's archive.
One caveat: when looking through this list it is worth noting that we are not told who has requested the delisting, and we should not leap to conclusions as to who is responsible.
The request may not have come from the obvious subject of a story.»...
Source: http://www.bbc.co.uk | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances
06 19 2015 22:22:11
Affaire Notrefamille.com / Dep. de la Vienne : sur la reutilisation de donnees, la protection des donnees a caractere personnel et le producteur de base de donnees. Par Antoine Cheron, Avocat.
«Beaucoup d'activités innovantes sur Internet voient le jour depuis la mise en oeuvre de la politique gouvernementale de diffusion d'informations publiques. Les innovations numériques figurent parmi les trois objectifs fixés par l'open data, les autres étant la transparence de l'action publique et la valorisation du patrimoine immatériel des personnes publiques.
(CAA de Bordeaux, 26 février 2015 ; Notrefamille.com c/ Département de la Vienne)»...
Source: http://www.village-justice.com | Source Status
Categories: Juridique,Tendances
06 19 2015 21:1:39
Journalistes et lanceurs d'alerte sont-ils menaces par la directive sur le secret des affaires ?
«Les journalistes hésitent généralement à signer des pétitions, de crainte d'abdiquer la neutralité qui constitue pour beaucoup d'entre eux l'un des principes fondamentaux de leur profession.
Dérogeant à cette règle, plusieurs grands noms du journalisme d'investigation se sont engagés début juin derrière une pétition d'Elise Lucet dénonçant un projet de directive européenne menaçant selon eux « le travail d'enquête des journalistes et, par ricochet, l'information éclairée du citoyen ». >> La pétition sur le site Change.org Le collectif « Informer n'est pas un délit », emmené par la journaliste de France 2, rédactrice en chef du magazine Cash Investigation, avait réuni plus de 310 000 signatures mardi 16 juin, alors que la commission juridique du Parlement européen donnait son feu vert à la directive sur le secret des affaires.
De quoi s'agit-il ? La pétition dénonce le projet de directive « sur la protection des savoir-faire et des informations commerciales non divulgués (secrets d'affaires) contre l'obtention, l'utilisation et la divulgation illicites », proposé en novembre 2013 par la Commission européenne.
Il vise à créer une définition européenne du « secret des affaires » en harmonisant les différentes lois nationales, afin de mieux protéger les entreprises contre la divulgation de leurs « secrets économiques », dans l'optique d'améliorer leur compétitivité. Le secret des affaires est une notion juridique à la définition complexe, qui peut servir de fondement pour qu'une entreprise puisse attaquer un journaliste qui ferait des révélations, au motif que celles-ci constituent un préjudice pour l'activité de l'entreprise en question.
« L'information protégée par le secret des affaires peut être stratégique pendant des décennies (par exemple une recette ou un composant chimique) ou de façon éphémère (résultats d'une étude marketing, nom prix et date de lancement d'un nouveau produit [...¦]) », explique la Commission, qui affirme qu'un quart des entreprises européennes ont fait état d'un vol d'informations en 2013.»...
Source: http://www.lemonde.fr | Source Status
Categories: Whistle Blowing,Tendances
06 03 2015 6:27:44
Wikileaks offre 100 000 dollars a qui divulguera le traite transpacifique
«Depuis la conquête de l'Ouest, les Etats-Unis ont une solide culture de la récompense pour retrouver « mort ou vif » un hors-la-loi. Tout le monde a en souvenir ces affiches placardées dans les westerns avec le mot « Wanted ! » (recherché). Le pays est en train de renouer avec cette tradition.
Cette fois-ci ce n'est pas un homme qui est recherché, mais un traité. Le site Wikileaks a offert ainsi 100 000 dollars (89 700 euros) de récompense à qui lui fournirait une copie de l'accord de partenariat transpacifique (TPP) en cours de négociation.
« L'heure de la transparence a sonné pour le TPP. Stop aux secrets. Stop aux excuses. Ouvrons le TPP une fois pour toutes », a appelé Julian Assange, fondateur de Wikileaks, qui s'était notamment illustré en révélant des milliers de documents relatifs aux modes opératoires de l'armée américaine en Irak.
Le secret le plus recherché d'Amérique « Cet accord massif contient 29 chapitres, dont 26 restent encore secrets, explique Wikileaks, qui en a déjà révélé trois. Il couvre 40 % du PIB mondial et il s'agit du plus grand accord de son genre dans l'histoire.
Le traité vise à créer un nouveau régime juridique international qui permettra aux sociétés transnationales de contourner les tribunaux nationaux, de se soustraire à la protection de l'environnement, contrôler Internet pour le compte des fournisseurs de contenu, de limiter la disponibilité des médicaments génériques abordables, et de réduire considérablement la souveraineté législative de chaque pays ». Les négociations sur ce traité, menées dans la plus grande confidentialité, sont de plus en plus contestées aux Etats-Unis, notamment par une partie des Démocrates, de nombreux syndicats et associations, qui contestent leur caractère antidémocratique.
Ce traité a pour but de libéraliser les échanges entre une douzaine d'Etats situés sur les deux rives du Pacifique (dont le Japon, les Etats-Unis et le Mexique). Ses opposants redoutent des conséquences sur l'emploi, les normes sanitaires et l'environnement.
Après seulement quelques heures, Julian Assange avait déjà recueilli un quart de la somme proposée grâce à une opération de financement participatif sur Internet.»...
Source: http://www.lemonde.fr | Source Status
Categories: Whistle Blowing,Tendances
06 03 2015 6:9:13
Limoges, premiere grande ville dotee d'une ''commission ethique''
«Limoges a installé lundi sa "commission éthique et transparence", un dispositif destiné à veiller à la probité des élus dans leur action municipale et soutenu par l'association de lutte contre la corruption, Anticor, qui souhaite l'étendre à d'autres villes.
"Pour nous Limoges sera un véritable laboratoire", s'est réjouit la vice-présidente de l'association Anticor, Séverine Tessier. "Il s'agit d'une première, tout est presque à inventer, et les champs d'action de la commission s'affineront au fur et à mesure", a-t-elle ajouté lors d'une conférence de presse.
La commission, composée de 18 membres, neuf élus et neuf citoyens, aura le pouvoir de se réunir quand elle le souhaitera et à la fréquence qu'elle jugera utile. Treize mois de négocations entre l'association et la ville ont été nécessaires pour définir les contours de la commission qui aura un rôle consultatif et de conseil.
"Vous êtes des pionniers. Vous avez désormais de grandes responsabilités, car la France et les Français ont les yeux rivés sur vous", a lancé le maire UMP Emile-Roger Lombertie à l'adresse des membres de la commission.
"Nous avons obtenu toute la liberté nécessaire pour pouvoir communiquer sur les dossiers dont nous serons saisis et avons un full-access garanti à toute la documentation que nous demanderons sous réserve d'en respecter la confidentialité", a expliqué le représentant local d'Anticor et membre de la commission, Stéphane Bobin.
Le champ d'action de la commission sera "tout ce qui sera porté à sa connaissance" et qui "relèvera d'un conflit d'intérêt" ou "qui mettra en cause la probité d'un élu", a-t-il précisé. Le mode de désignation du collège citoyen fait toutefois débat au sein du conseil municipal.
L'opposition du Front de Gauche et du Parti socialiste, favorables à la démarche, regrettent que les 50 % des membres issus du corps électoral aient été désignés par les élus membres de la commission.
La vice-présidente d'Anticor s'est dite aussi plus favorable à "un tirage au sort sur les listes électorales". "Rien n'est figé, c'est un moyen terme de départ. Si des centaines de candidatures spontanées citoyennes émergent, le mode de désignation pourrait changer", a assuré le maire.»...
Source: http://lci.tf1.fr | Source Status
Category: Tendances