05 29 2017 11:6:1
Deadline: 29 May 2017 - Public consultation on whistleblower protection - European Commission
«Deadline: 29 May 2017 The questionnaire
Source: https://ec.europa.eu | Source Status You can access translated versions of the survey via the menu "Languages" on the right side of the dedicated web page.
Please note that the survey is divided into sections: you are free to reply to the various sections in the preferred order. Please note also that you can always save a draft of your replies: you will receive a link to access the survey again and complete it.
Period of consultation 03 March 2017 - 29 May 2017»...
Source: http://ec.europa.eu | Source Status
Categories: Whistle Blowing,Tendances
05 21 2017 16:4:5
Plus vous commencez tot a fumer du cannabis, moins vous ferez d'etudes
«Les consommateurs précoces de cannabis ont plus de probabilité de ne pas dépasser le baccalauréat par rapport aux non-fumeurs, révèle une étude menée par l'Inserm et publiée ce jeudi 18 mai dans une revue scientifique.
Les chercheurs de l'Inserm ont cherché à découvrir une éventuelle relation causale entre la consommation de cannabis commencée avant 17 ans et le niveau d'étude atteint. Ils l'ont trouvé. Les résultats de leur étude, portant sur 1.100 personnes âgées de 25 à 35 ans, ont été publiés ce jeudi dans la revue International Journal of Epidemiology.
Des études similaires existent déjà. Quelle est la particularité de celle-ci? Les chercheurs ont tenu compte des caractéristiques familiales et des difficultés psychologiques et scolaires.»
[...]
«S'arrêter au baccalauréat
Les personnes ayant commencé à fumer du cannabis avant 17 ans ont une probabilité plus élevée de pas dépasser le baccalauréat, alerte l'étude. Ils ont pris en compte l’âge et le sexe des participants, par rapport aux non-consommateurs de cannabis.
Les résultats restent significatifs en incluant les caractéristiques individuelles et familiales susceptibles de prédire l’initiation précoce du cannabis. "La consommation précoce de cannabis peut donc induire des difficultés scolaires, se traduisant à terme par un niveau d’études inférieur à celui obtenu par des jeunes non consommateurs, et ceci quel que soit le milieu social considérées, les difficultés psychologique ou scolaires des jeunes", analysent Maria Melchior, directrice de recherche Inserm, et ses co-auteurs.
"Les mécanismes par lesquels la consommation de cannabis à un âge précoce affecte le devenir scolaire peuvent avoir trait à la baisse de la motivation, aux problèmes de mémorisation et de concentration, entre autres", justifient les chercheurs.
Risque plus important pour les filles
Plus les élèves fument tôt dans leur adolescence, plus le danger est élevé pour leur poursuite d'étude. Et ce risque est plus important chez les filles que chez les garçons.
"Dans un contexte où en France un collégien sur dix (un sur cinq en 3ème) et près d’un lycéen sur deux a déjà expérimenté le cannabis, le recul de l’âge d’initiation de l’usage de ce produit est un objectif de santé publique majeur", estiment les chercheurs.
Les personnes ayant commencé à fumer cannabis après 17 ans ont un niveau de diplôme comparable aux non consommateurs.
»...
Source: http://www.nicematin.com | Source Status
Categories: Crise/Analyse de Crise,Tendances
05 18 2017 10:32:8
Comprendre les procedures-baillons : le stade ultime de l'intimidation judiciaire - Le monde bouge - Telerama.fr
«Créées aux Etats-Unis à la fin des années 80, les procédures-bâillons se sont multipliées en France comme à l'étranger. Leur but : réduire au silence associations comme personnes physiques, afin de museler le débat public.
Un combat disproportionné. Explications en cinq points.»...
Source: http://www.telerama.fr | Source Status
Categories: Stratégie d'Influence et de Contre-influence ,Tendances
05 17 2017 10:48:54
Pour clore le quinquennat Hollande, une ultime victoire des lobbys contre... la reglementation du lobbying - Observatoire des multinationales
«C'est un ultime renoncement qui résume à lui seul bien des déceptions du quinquennat de François Hollande. Le décret d'application de la loi Sapin 2, adoptée l'automne dernier, sur la transparence et l'encadrement du lobbying a été publié dans les derniers jours précédant la passation de pouvoir.
Il s'avère très en deçà des attentes de la société civile. Le décret d'application de la loi Sapin 2, publié au Journal officiel le 10 mai dernier, dans les derniers jours du quinquennat de François Hollande, valide la création d'un registre numérique des « représentants d'intérêts », autrement dit des lobbyistes.
C'était l'une des mesures emblématiques de la loi Sapin 2, adoptée en novembre 2016. Le principe d'un tel registre était simple en théorie : obliger les lobbyistes à la transparence pour permettre à tout un chacun de savoir qui rencontre ou communique avec les décideurs politiques à quel moment, sur quels sujets, pour défendre quelles positions, pour le compte de quels clients, et avec quels moyens.
En pratique, cependant, tout dépend des informations effectivement disponibles, de leur rythme de publication, de leur vérification, et des sanctions éventuelles contre ceux qui ne respecteraient pas leurs obligations.
Et c'est bien là que le bât blesse. Le dispositif prévu pour mettre en oeuvre la loi Sapin 2 - déjà elle-même limitée - a été considérablement allégé dans la version finale du décret d'application, malgré les avertissements de la société civile, ainsi que de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique elle-même, instance qui sera chargée de gérer le dispositif.
Contrairement à ce qui avait été envisagé, les lobbyistes n'auront finalement pas à déclarer l'identité des parlementaires, hauts fonctionnaires, ministres ou conseillers ministériels qu'ils rencontrent dans le cadre de leurs activités.
Ils n'auront à déclarer que des « actions », dans des termes très généraux et imprécis - par exemple, « un déjeuner avec un haut fonctionnaire sur un projet de décret » - , sans donner plus de contexte pour permettre d'en comprendre la nature et l'importance, et sans même avoir à en donner la date exacte.
Enfin, ils n'auront à faire leur déclaration qu'a posteriori, plusieurs mois après les faits et après l'adoption des législations qu'ils auront influencées.»
[...]
«France
Lobbying contre la régulation du lobbying
Comme le souligne justement l’ONG Transparency France, « cela signifie par exemple qu’il faudra attendre avril 2018 pour obtenir des indications parcellaires sur la manière dont certains représentants d’intérêts ont cherché à influencer, dans l’ombre, le contenu de ce décret [d’application] ». L’exemple n’a rien d’anecdotique. L’élaboration de ce décret si décevant a effectivement été marquée par le lobbying très agressif mené principalement par le Medef et l’Afep (Association française des entreprises privées, une émanation du CAC40) [1]. Leur succès final illustre la réalité du pouvoir des lobbys, mais aussi d’une certaine manière les limites des dispositifs prévus par la loi Sapin 2 pour contrebalancer leur influence. Pour tuer dans l’oeuf les réformes qui leur déplaisent, ces puissants acteurs n’hésitent pas à invoquer les règles constitutionnelles ou européennes sur « le secret des affaires » ou la « liberté d’entreprendre », auprès d’instances comme le Conseil d’État ou le Conseil constitutionnel (lire notre enquête) qui - tout comme la Présidence de la République - sont épargnés par les nouvelles obligations de la loi Sapin 2.
La « transparence » du lobbying n’a rien en soi d’une panacée. Pour que le futur registre ne soit pas qu’un simple annuaire des professionnels du lobbying présents sur la place de Paris, il faut qu’il contienne des informations pertinentes, de manière suffisamment détaillée, et surtout qu’il permettre de mettre les décideurs ou les hauts fonctionnaires face à leurs responsabilités. La loi Sapin 2 voulait rapprocher les pratiques françaises en matière de transparence du lobbying de celles qui existent au niveau des institutions européennes. Mais l’exemple de l’Europe montre à quel point la transparence à elle seule - lorsqu’elle n’est pas complétée par des règles d’équité, de gestion des conflits d’intérêts et des pantouflages, de contre-expertise indépendante, et de correction des rapports de force dissymétriques entre les multinationales et tous les autres -, ne suffit en rien à infléchir réellement le biais structurel des pouvoirs publics en faveur des acteurs économiques les plus puissants.
Changement d’époque ?
Les regards des ONG se tournent désormais vers le nouveau président. Interpellé par Transparency France durant la campagne électorale, Emmanuel Macron avait promis une application stricte des dispositions de la loi Sapin 2, en proposant même d’imposer « un horaire et un lieu précis pour les réunions qui relèvent de ces pratiques au Parlement ». On ne sait pas ce qu’il en irait du lobbying auprès des ministères, souvent beaucoup plus décisif, sans parler du lobbying auprès de l’Élysée, ignoré par la loi Sapin 2.
Si la modestie des obligations finalement imposées aux lobbyistes symbolise à elle seule les renoncement du quinquennat qui vient de s’achever, beaucoup craignent que celui qui s’ouvre soit marqué par une imbrication encore plus grandes des intérêts publics et privés. Le nouveau Premier ministre Édouard Philippe, lui aussi, s’est fait remarquer par son opposition à la transparence et à la moralisation de la vie publique, ainsi que par sa défense du cumul des mandats et son pantouflage comme responsable des affaires publiques, autrement dit comme lobbyiste en chef, chez Areva. Si les craintes se vérifient, quelques maigres obligations de transparence ne suffiront probablement pas à résoudre le problème.
»...
Source: http://multinationales.org | Source Status
Categories: Lobbying/Analyse de Lobbying , Tendances
05 17 2017 10:44:49
Pour clore le quinquennat Hollande, une ultime victoire des lobbys contre... la reglementation du lobbying - Observatoire des multinationales
«C'est un ultime renoncement qui résume à lui seul bien des déceptions du quinquennat de François Hollande. Le décret d'application de la loi Sapin 2, adoptée l'automne dernier, sur la transparence et l'encadrement du lobbying a été publié dans les derniers jours précédant la passation de pouvoir.
Il s'avère très en deçà des attentes de la société civile. Le décret d'application de la loi Sapin 2, publié au Journal officiel le 10 mai dernier, dans les derniers jours du quinquennat de François Hollande, valide la création d'un registre numérique des « représentants d'intérêts », autrement dit des lobbyistes.
C'était l'une des mesures emblématiques de la loi Sapin 2, adoptée en novembre 2016. Le principe d'un tel registre était simple en théorie : obliger les lobbyistes à la transparence pour permettre à tout un chacun de savoir qui rencontre ou communique avec les décideurs politiques à quel moment, sur quels sujets, pour défendre quelles positions, pour le compte de quels clients, et avec quels moyens.
En pratique, cependant, tout dépend des informations effectivement disponibles, de leur rythme de publication, de leur vérification, et des sanctions éventuelles contre ceux qui ne respecteraient pas leurs obligations.
Et c'est bien là que le bât blesse. Le dispositif prévu pour mettre en oeuvre la loi Sapin 2 - déjà elle-même limitée - a été considérablement allégé dans la version finale du décret d'application, malgré les avertissements de la société civile, ainsi que de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique elle-même, instance qui sera chargée de gérer le dispositif.
Contrairement à ce qui avait été envisagé, les lobbyistes n'auront finalement pas à déclarer l'identité des parlementaires, hauts fonctionnaires, ministres ou conseillers ministériels qu'ils rencontrent dans le cadre de leurs activités.
Ils n'auront à déclarer que des « actions », dans des termes très généraux et imprécis - par exemple, « un déjeuner avec un haut fonctionnaire sur un projet de décret » - , sans donner plus de contexte pour permettre d'en comprendre la nature et l'importance, et sans même avoir à en donner la date exacte.
Enfin, ils n'auront à faire leur déclaration qu'a posteriori, plusieurs mois après les faits et après l'adoption des législations qu'ils auront influencées.»...
Source: http://multinationales.org | Source Status
Categories: Lobbying/Analyse de Lobbying , Tendances
05 10 2017 13:35:36
France: Les hackers pris a leur propre piege par l'equipe Macron - News Monde: Europe - tdg.ch
«Si les MacronLeaks lancés la veille du second tour de l'élection présidentielle française ont fait «pschitt!» c'est parce que l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron avait anticipé l'attaque informatique dont le mouvement En Marche! a été la cible.
Selon Mounir Majhoubi, en charge des supports numériques, les hackers auraient été pris à leur propre piège. Conscient qu'il risquait d'être l'objet de piratages informatiques, le mouvement créé par Emmanuel Macron s'était prémuni en créant lui-même cinq boites mails faussement attribuées à des responsables importants de la campagne.
«Il y avait le responsable financier de l'organisation, des personnes qui travaillent dans l'équipe politique, il y avait des personnes moins connues du mouvement», a expliqué Mounir Majhoubi.
Comme attendu, les messageries d'En Marche! ont été assaillies de mails garnis de fichiers piégés. Du «phishing», une méthode éprouvée qui permet de s'introduire dans les systèmes informatiques.
La contre-attaque a notamment consisté à nourrir les pirates, en leur donnant des dizaines de faux mots de passe et à les renvoyer vers de faux documents ou de mauvais liens pour leur offrir sur un plateau les informations qu'ils escomptaient utiliser pour salir la réputation d'Emmanuel Macron.»...
Source: http://www.tdg.ch | Source Status
Categories: Vulnérabilités Informationnelles,Tendances